L’Afrique du Sud accueillera en novembre un sommet commercial entre les États-Unis et l’Afrique, malgré la demande antérieure des députés américains de déplacer l’événement en raison de ce qu’ils...
L’Egypte prévoit de construire un complexe industriel de production d’acier plat pour un milliard de dollars. Avec une capacité de production estimée à 1,8...
Suite aux reformes minières, les multinationales du secteur au Mali sont sur la sellette. Le nouveau code minier en attente du decret d’application prévoit...
Le Mali prévoit de réviser son code minier, avec l'objectifd'augmenter la participation de l’Etat et du secteur privé local à 35 % contre 20% actuellement,...
En République démocratique du Congo (RDC), Kibali, la plus grande mine d’or d’Afrique, a augmenté sa production au cours du dernier trimestre, conformément à...
La "Dangote Petroleum Refinery and Petrochemicals" (DPRP) fraichement inaugurée est la plus grande raffinerie d'Afrique, la 6ème au monde, mais aussi la plus grande raffinerie de pétrole à "train unique" au monde. L'usine dispose d'un système unique intégré de distillation atmosphérique et sous-vide de pétrole brut. Une fois l'ouvrage pleinement opérationnel, il est prévu que le pays n’importera plus de produits pétroliers et le gouvernement nigérian va lever ses couteuses subventions aux importations de l’essence. Mais en matière de logistique, il serait difficile de mesurer les obstacles et les contraintes que les équipes d'Aliko Dangote ont dû soulever pour faire aboutir ce projet… Pour Africa Income, Mahaman Laouan Gaya, Ingénieur Pétrochimiste, Ancien Ministre de la République du Niger, Ancien Secrétaire Général de l’Organisation des Producteurs de Pétrole Africains (APPO) revient sur les challengers surmontés ainsi que les tenants et aboutissants de ce Méga-projet, dans cette tribune.
C’est en présence du chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba que le Gabon a inauguré la Raffinerie Gabonaise de l’or et la Zone Logistique Multimodale de Nkok. L’ouvrage à une capacité de raffinage de 7 à 10 tonnes d’or par an. C’est une première pour le pays qui interdit désormais l’exportation de l’or à l’état brut et cherche à accélérer la production aurifère.
Annoncé en grande pompe en avril 2022 entre le gouvernement congolais et la major italienne ENI S.P.A, l'ambitieux programme de développement de l'exploitation de gaz au Congo vient de connaitre un coup d'accélérateur. Le 25 avril dernier a eu lieu la pose de la première pierre de Congo LNG, le premier projet de liquéfaction et de commercialisation de gaz naturel liquéfié. D'un investissement initial de cinq (5) milliards d'euros, le projet devrait atteindre une capacité globale de production de gaz naturel liquéfié (GNL) de 3 millions de tonnes par an soit environ 4,5 milliards de mètres cubes/an à partir de 2025 et devrait permettre non seulement au pays de satisfaire ses besoins en matière de production d'électricité tout en assurant les moyens de sa transition énergétique.
La réquisition pour "nécessité publique" en début de semaine par le gouvernement de la transition du Burkina de 200 kg d'or produit par, SEMAFO BF, une filiale du groupe canadien Endeavor Mining, a amplifié les incertitudes auprès des investisseurs miniers déjà confrontés à une baisse de leurs activités en raison de la situation sécuritaire que vit le pays depuis quelques années. Pour le gouvernement, qui tente de rassurer les investisseurs et les autre partenaires, les récentes réquisitions d’or auprès de sociétés minières, résultent d’une nécessité publique et sont exceptionnelles et temporaires.
Le projet d’exploitation du gisement de fer de Simandou est de nouveau sur les rails. Après des rencontres et négociations avec les autorités et investisseurs Chinois, la Guinée a annoncé la reprise des travaux de développement de Simandou, le plus grand gisement mondial de minerai de fer à haute teneur encore inexploité. Depuis son accession au pouvoir, le gouvernement dirigé par Mamadi Doumbouya a pris des mesures, jugées populaires, dans une tentative de reprise en main du secteur minier guinéen, longtemps plombé par la corruption et les litiges.
En République démocratique du Congo (RDC) la compagnie minière canadienne Ivanhoe Mines (IVN.TO) est rattrapée par sa proximité avec Vidiye Tshimanga, l’ancien conseiller stratégique du président Félix Tshisekedi, accusé entre autres de corruption.
La compagnie minière anglo-Suisse Glencore annonce un accord avec la RDC dans le dossier d’accusation de corruption. Le mineur qui a promis de verser 180 millions de dollars américains à la RDC a entamé un programme d'éthique et de conformité. Dans ce dernier il s’est engagé à mettre en œuvre sa résolution avec le ministère de la Justice des États-Unis (« DOJ »).