lundi 25 septembre 2023

Mauritanie

L’Afrique du Sud accueillera le sommet commercial américano-africain en dépit de son alliance avec la Russie

L’Afrique du Sud accueillera en novembre un sommet commercial entre les États-Unis et l’Afrique, malgré la demande antérieure des députés américains de déplacer l’événement en raison de ce qu’ils...

Chronique : gare aux méfaits de la Big Tech

Le numérique a fini par s’imposer à notre mode de vie. Dans un tel...

Afrique du Sud : vers un holding des sociétés étatiques

Le gouvernement sud-africain envisage de créer une holding regroupant les diverses sociétés d’Etat. La...

Commerce : la Turquie multiplie par 8 ses échanges commerciaux avec l’Afrique en deux décennies

Le renforcement des liens diplomatiques entre la Turquie, 19e puissance économique mondiale, et le...

Maroc : 11,7 milliards de dollars pour un plan quinquennal de reconstruction post-séisme

 Le Maroc va mettre en place un plan de reconstruction après le séisme meurtrier...

Interview – Cheikh Oumar Ba : « IPAR est l’un des premiers think tank ouest-africains sur l’agriculture et le monde rural »

Partis du constat qu’en Afrique en général la prospective reste marginale, le Dr. Cheikh Oumar Ba et ses collègues ont créé l’Initiative Prospective Agricole et Rurale (IPAR) en 2004. L’un des premiers think tank ouest-africains sur l’agriculture et le monde rural, l’IPAR mise sur la recherche, la renforcement des capacités et le dialogue politique. Au cœur des réflexions : le changement climatique, l’agriculture et l’agrobusiness, la migration et l’emploi des jeunes, la gestion des ressources naturelles et foncières.

Les pays du bassin MSGBC expérimentent les énergies renouvelables

Au moment où la région MSGBC (Mauritanie, Sénégal, Gambie, Guinée Bissau, Guinée Conakry) accélère ses grands projets d’exploitation pétrolière et gazière, les pays producteurs investissent aussi dans l’exploitation de leur potentiel en énergies renouvelables. Des projets dans la production des énergies renouvelables ont été lancés au moins dans trois pays.  

Dette en Afrique du Nord : Kristalina Georgieva tire la sonnette d’alarme

La dette publique au Moyen-Orient et en Afrique du Nord est une "préoccupation", nécessitant une stratégie budgétaire, selon le FMI qui s’est penché sur les enjeux et menaces qui pésent sur la région. Il s’agit de renforcer la résilience des finances publiques pour protéger less populations et les économies de la région tout menant des actions en faveur de l'envionnement.

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