Dans le cadre de sa nouvelle mandature 2023-2029 à la tête de l’institution, le président de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire ( CCI-CI), Faman Touré,...
Le Burkina Faso espère construire une centrale nucléaire dans le pays d’ici 2030, selon la déclaration jeudi à Moscou, du ministre de l’Énergie, des...
A l’issue du conseil des ministres de l’union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa), les ministres ont adopté une directive et une décision relatives à...
Les choses sont allés très vite entre le gouvernement burkinabé et l'entreprise Afro Turk. Deux mois après la décision des autorités de céder les actifs miniers pour l’exploitation industrielle du manganèse de Tambao et de la grande mine d’or d’Inata à la société Afro Turk par une procédure d’entente directe, les deux parties ont acté la transaction le 25 avril dernier pour un montant de 30 milliards de francs CFA. En plus d'apporter de l'argent frais aux caisses de l'Etat, l'opération redonne du souffle au secteur minier burkinabé qui traverse une crise depuis plusieurs années en raison notamment de l'amplification des menaces sécuritaires qui ont poussé plusieurs investisseurs miniers à tempérer leur ambition de développer de nouveaux projets...
Depuis quelques semaines, on assiste à une véritable levée de boucliers des abonnées des principaux opérateurs télécoms dans plusieurs pays d'Afrique de l'ouest qui jugent le coût des services excessifs. Une grogne provoquée par la récente hausse des tarifs de certaines offres, notamment l'Internet mobile, annoncée dans certains pays et qui se manifeste par des appels spontanés à des mouvements de boycott qui s'amplifient sur les réseaux sociaux.
Le GAFI a retiré le Maroc de la" liste grise" des pays à surveiller. Une épine de moins pour Rabat qui cherche à conserver sa destination privilégiée des IDE. Au même moment l’Afrique du Sud - critiquée récemment pour sa position floue dans la guerre russo-ukrainienne - a rejoint le groupe des huit pays africains à surveiller, établi par le GAFI, un organe du G7.
La réquisition pour "nécessité publique" en début de semaine par le gouvernement de la transition du Burkina de 200 kg d'or produit par, SEMAFO BF, une filiale du groupe canadien Endeavor Mining, a amplifié les incertitudes auprès des investisseurs miniers déjà confrontés à une baisse de leurs activités en raison de la situation sécuritaire que vit le pays depuis quelques années. Pour le gouvernement, qui tente de rassurer les investisseurs et les autre partenaires, les récentes réquisitions d’or auprès de sociétés minières, résultent d’une nécessité publique et sont exceptionnelles et temporaires.
Le Mali, la Guinée et le Burkina Faso se rapprochent pour renforcer leurs échanges. Dirigés par des militaires et sanctionnés par la Cedeao, les trois pays au destin similaire, ont réunis leurs ministres des affaires étrangères pour concevoir une feuille de route permettant de fluidifier leurs échanges commerciaux et d'élaborer des infrastructures routières et ferroviaires communes.
La situation économique dans l'espace communautaire ainsi que les perspectives dans une conjoncture mondiale pleine d'incertitudes a été l'un des principaux sujets à l'ordre du jour du 23e Sommet ordinaire des Chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) qui s'est tenu lundi 05 décembre 2022 à Abidjan, en Côte d'ivoire.
Afin de mieux s’informer sur l’état de la transition au Burkina Faso, le Médiateur de la CEDEAO a échangé avec le capitaine Ibrahima Touré. La question du comité de suivi et d’évaluation de la Transition a été examinée pour s’assurer de la continuité du processus devant mener à la fin de cette transition dans les délais convenus.
Huit mois après son putsch, Damiba a été forcé de quitter le pouvoir par une nouvelle junte. Des accrochages ont eu lieu entre les différentes fractions de l’armée burkinabé. Les populations s’en sont prises violemment à des intérêts français avant l’annonce d’un accord le dimanche.