L'Assemblée nationale du Sénégal a voté, par une écrasante majorité, des résolutions, ce jeudi 8 mai 2025, pour accuser cinq anciens ministres du régime de l'ex-président Macky Sall...
Le laboratoire pharmaceutique marocain Sothema envisage d’implanter une usine en Afrique de l'Est. La construction de cette usine est-africaine du groupe marocain devrait produire...
Dans le cadre de l’accélération du développement des énergies renouvelables, et après avoir annoncé début juillet 2023 la liste des entreprises pré-qualifiées pour la...
A quelques jours de l’expiration des accords de pêche liant le Maroc à l’Union Européenne (UE), les différentes parties tentent de trouver un consensus pour renouveler l’accord. A Rabat, le ministre des Affaires étrangères Nasser Bourita insiste pour des partenariats plus avancés avec une valeur ajoutée marocaine plus forte.
L'Office Chérifienne des phosphates (OCP) du Maroc a annoncé des investissements de 7 milliards de dollars dans une usine d'ammoniac utilisant de l'hydrogène vert, produit à partir de carburant renouvelable, selon les informations relayées par Reuters le 20 juin. OCP, l'une des plus grandes sociétés de phosphates et d'engrais au monde cherche à augmenter sa production et à atteindre ses objectifs de faible émission de carbone, dans un contexte de hausse des prix soutenus par le conflit Russo-ukrainienne.
C’est le 13 juin dernier que l’Association marocaine des professionnels du froid (AMPF) a organisé la 5ème Edition de la Journée Mondiale du Froid (WRD) à Casablanca. Cette journée, célébrée normalement le 26 juin de chaque année a été avancée cette année, en raison dans la fête d’Aïd El Kébir (fête du Mouton ou Tabaski) proche.
Il s’agit de la signature de 19 contrat-programmes de nouvelle génération pour le développement des filières de production. Des contrats pour un partenariat public-privé, base de la gouvernance du secteur agricole. Le projet nécessitera la mobilisation de plus de 110 Milliards de DH, soit près de 11 milliards de dollars pour mieux rentabiliser et moderniser ce secteur clé de l’économie marocaine.
Maroc Telecom, premier opérateur de téléphonie du Royaume chérifien annonce un chiffre d’affaires consolidé de 9,1 milliards de dirhams (MMDH) à la fin mars 2023, soit près de 904 millions de dollars. Il en ressort une progression de 3,7%. Les revenus des filiales ont progressé de 2,1% à taux de change constant avec plus de 75 millions.
Dans cet entretien Zakiat Sekkat, Présidente Directrice Générale de Poudrox - fleuron de l’industrie marocaine de la peindure - revient sur son parcours, les produits qui ont fait le succès du groupe, mais aussi sur la veille technologique. Dans le secteur, les innovations sont de plus en plus axées sur le développement de produits écologiques. Poudrox suit la tendance avec son laboratoire de R&D. Le groupe installé dans la zone stratégique de Tanger Med a aussi en ligne de mire des pays en développement d’Afrique subsaharienne, un marché en pleine croissance.
Le Maroc prévoit de dépenser 6,1 milliards de dirhams soit 580 millions de dollars jusqu'en 2026 pour développer son secteur touristique afin d'attirer plus de visiteurs, faire rentrer plus de devises et redresser un secteur décimé par la crise du Coronavirus.
Dans le sillage du 08 mars, Journée Internationale de la femme, Africa Income est revenu sur le parcours de femmes africaines inspirantes. A l’honneur cette fois, la Marocaine Asma Chaabi, vice-présidente d’YNNA Holding, ancienne maire d’Essaouira et militante impliquée pour l’amélioration des conditions de vie des femmes et des couches vulnérables.
Le GAFI a retiré le Maroc de la" liste grise" des pays à surveiller. Une épine de moins pour Rabat qui cherche à conserver sa destination privilégiée des IDE. Au même moment l’Afrique du Sud - critiquée récemment pour sa position floue dans la guerre russo-ukrainienne - a rejoint le groupe des huit pays africains à surveiller, établi par le GAFI, un organe du G7.
La dette publique au Moyen-Orient et en Afrique du Nord est une "préoccupation", nécessitant une stratégie budgétaire, selon le FMI qui s’est penché sur les enjeux et menaces qui pésent sur la région. Il s’agit de renforcer la résilience des finances publiques pour protéger less populations et les économies de la région tout menant des actions en faveur de l'envionnement.
Au Maroc le déficit commercial s'envole de 57 % dans un contexte de choc persistant des prix de l'énergie et des denrées alimentaires. Ce déficit est le reflet d’une valeur monétaire des importations du pays plus élevée que les exportations.