Tullow Oil a finalisé la vente de ses participations non exploitées au Gabon à Gabon Oil Company (GOC) pour 307 millions de dollars, marquant ainsi un changement stratégique dans le portefeuille de la société indépendante britannique et une évolution notable pour le secteur énergétique gabonais. (Crédit: Gabon Oil).
L’Exécutif du Sénégal a connu, samedi 06 septembre 2025, son tout premier remaniement ministériel. C’est toujours un gouvernement, constitué d’une équipe restreinte de 25 ministres et 6 Secrétaires d’Etat,...
L’Assemblée nationale du Bénin a adopté, la semaine dernière, le projet de loi de finances pour l’année 2023 avec un budget équilibré en recettes et en dépenses à 3 033,337 milliards de francs FCFA dont près du tiers de l'enveloppe consacré au social selon le gouvernement. Avec une croissance du PIB projetée à 6,5%, l'économie béninoise surfe sur des perspectives favorables en dépit de la conjoncture mondiale morose et doit faire face à certains risques avec les élections législatives prévues l'année prochaine mais aussi et surtout, les menaces sécuritaires dont la prise en charge vont nécessiter un plus grand effort budgétaire.
Dans le cadre de la Semaine africaine de l'Industrialisation dont l'édition 2022 s'est étalée du 20 au 25 novembre, s'est tenue à Niamey, au Niger, le premier Forum Africain sur la Garantie financière, une initiative d'une coalition d'institutions financières continentales. A cette occasion, elles se sont engagées à mobiliser sur un an, une enveloppe d’un milliard de dollars soit environ 600 milliards FCFA en faveur des Micro, petites et moyennes entreprises (MPMEs)
Alors que les donateurs traditionnels de l’Afrique se concentrent sur le cas ukrainien, la Fondation Bill & Melinda Gates revoit à la hausse sa contribution. Elle promet 7 milliards de dollars d’aide aux pays africain, destinés à soutenir des secteurs clés de l’agriculture, de la santé, des problèmes liés au genre.
A la COP 27, dont les travaux se déroulent du 06 au 18 novembre à Charm el-Cheick, en Egypte, les négociations sur l'agenda pour une véritable et concrète transition énergétique s'annoncent comme le véritable enjeu pour l'Afrique. Les pays africains maintiennent leur engagement quant à l'Accord de Paris de 2015 sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Mais au regard de leur faible empreinte carbone, ils n'entendent pas faire de concession sur un abandon brusque et dans l'immédiat des combustibles fossiles comme le réclament les pays développés. Ces derniers qui peinent à honorer leurs promesses de financements en faveur des pays pauvres et plus affectés par le changement climatique et qui n'hésitent pas à revenir aux combustibles fossibles si besoin, comme l'a montré la crise russo-ukrainienne.
Dans une économie mondiale aux perspectives des plus incertaines et qui marque le pas, l'Afrique subsaharienne semble tirer son épingle du jeu malgré le relatif ralentissement auxquels s'attend le FMI et la Banque mondiale dans leurs dernière projections publiées la semaine dernière. Certains pays, notamment en Afrique, bravent même la crise comme en témoignent les prévisions de croissance du PIB pour 2023 à l'image du Sénégal et du Niger. Les deux pays font figure de nouveaux champions africains de croissance pour 2023.
Présent à Washington dans le cadre des Assemblées annuelles de la Banque mondiale et du Fonds Monétaire International (FMI), le Premier ministre, Patrick Achi, est revenu sur les bons résultats économiques enregistrés par la Côte d’Ivoire. Il a réaffirmé l’engagement du gouvernement à poursuivre ses efforts et à faire davantage. C’était au terme de la session plénière des assemblées.
La Banque africaine de développement a obtenu des engagements jugés productifs autour de ses priorités stratégiques. Et cela lors des réunions de la 77e Assemblée générale des Nations Unies qui viennent de se terminer à New York. Environ 30 millions d'Africains ont basculé dans la pauvreté l'année dernière, principalement en raison du COVID-19, de la crise climatique et de la guerre en Ukraine.
Le Cameroun rejoint l’Africa Finance Corporation et devient le 36e État membre pour promouvoir une économie manufacturière. Le pays s’associe à l’organisation pour créer notamment des infrastructures industrielles permettant de transformer localement des ressources. Des investissements qui devraient contribuer à réduire les exportations de minerais bruts, favoriser la création d’emplois, le transfert de compétences et l’augmentation des recettes d’exportation.
La République Démocratique du Congo et les Emirats Arabes Unis signent un protocole d’accord pour un investissement d’un milliard de dollars américains. Des investissements dans les secteurs de l’économie congolaise. pour un investissement d’un milliard de dollars américains. Des investissements dans les secteurs de l’économie congolaise.