Depuis un peu plus de dix 10 jours, la Coupe du monde de football, qui se déroule au Qatar, galvanise les foules et occupe tous les espaces médiatiques. Grosse machine à sous, elle va générer à la Fifa, au pays organisateur et aux opérateurs privés la bagatelle de 6,5 milliards de dollars. En athlétisme, sports automobile, nautique ou en rugby, la filière du sport démontre sans cesse son volet lucratif, pour peu que les décideurs saisissent les opportunités.