Aux côtés des géants mondiaux asiatiques, tels que Samsung Electronics, TSMC et UMC, ou américains et européens comme ASML, Infineon, NXP, STMicroelectronics… la compétition est acharnée entre les grandes puissances mondiales pour le contrôle de la production de semi-conducteurs. Ces minuscules composants électroniques, présents dans notre quotidien, sont au cœur de la guerre des micro-puces. Où se situe l’Afrique, au moment où l’IA bat son plein ?
Le Comité de politique monétaire (MPC) de la Banque centrale d'Ouganda a récemment annoncé une réduction significative du taux directeur de la Banque centrale, l'abaissant de 25 points de...
Face à pression des grands organismes pour arrêter le financement des énergies fossiles, les pays se mobilisent pour soutenir la production. La Banque africaine...
En Mauritanie, le ministre de la Transformation numérique, de l’Innovation et de la Modernisation de l’Administration, Mohamed-Abdallahi Louly, a déclaré que le secteur enregistre,...
Le Président de la République mauritanienne, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, a procédé, dimanche, dans le cadre des célébrations commémorant le 63ème anniversaire de...
Partis du constat qu’en Afrique en général la prospective reste marginale, le Dr. Cheikh Oumar Ba et ses collègues ont créé l’Initiative Prospective Agricole et Rurale (IPAR) en 2004. L’un des premiers think tank ouest-africains sur l’agriculture et le monde rural, l’IPAR mise sur la recherche, la renforcement des capacités et le dialogue politique. Au cœur des réflexions : le changement climatique, l’agriculture et l’agrobusiness, la migration et l’emploi des jeunes, la gestion des ressources naturelles et foncières.
Au moment où la région MSGBC (Mauritanie, Sénégal, Gambie, Guinée Bissau, Guinée Conakry) accélère ses grands projets d’exploitation pétrolière et gazière, les pays producteurs investissent aussi dans l’exploitation de leur potentiel en énergies renouvelables. Des projets dans la production des énergies renouvelables ont été lancés au moins dans trois pays.
La dette publique au Moyen-Orient et en Afrique du Nord est une "préoccupation", nécessitant une stratégie budgétaire, selon le FMI qui s’est penché sur les enjeux et menaces qui pésent sur la région. Il s’agit de renforcer la résilience des finances publiques pour protéger less populations et les économies de la région tout menant des actions en faveur de l'envionnement.