Aux côtés des géants mondiaux asiatiques, tels que Samsung Electronics, TSMC et UMC, ou américains et européens comme ASML, Infineon, NXP, STMicroelectronics… la compétition est acharnée entre les grandes puissances mondiales pour le contrôle de la production de semi-conducteurs. Ces minuscules composants électroniques, présents dans notre quotidien, sont au cœur de la guerre des micro-puces. Où se situe l’Afrique, au moment où l’IA bat son plein ?
Le Comité de politique monétaire (MPC) de la Banque centrale d'Ouganda a récemment annoncé une réduction significative du taux directeur de la Banque centrale, l'abaissant de 25 points de...
Le fabricant suédois de batteries Northvolt cherche à s'approvisionner en cobalt, utilisé dans la fabrication de produits chimiques pour les batteries de véhicules électriques,...
Le ministre de la Coopération internationale et de la promotion du partenariat public-privé, Denis Christel Sassou Nguesso a accordé une audience au représentant diplomatique...
La représentante de la Banque mondiale en République du Congo, Mme Louise Pierrette Mvono, a promis que son institution va apporter un appui financier dans...
La Banque mondiale va investir 100 millions de dollars à la République du Congo pour financer les différents projets du Plan national de développement...
Au départ, la Société Générale comptait vendre sa filiale à Vista Group, une institution financière dirigée par le Burkinabè Simon Tiemtore. Mais, les autorités...
Annoncé en grande pompe en avril 2022 entre le gouvernement congolais et la major italienne ENI S.P.A, l'ambitieux programme de développement de l'exploitation de gaz au Congo vient de connaitre un coup d'accélérateur. Le 25 avril dernier a eu lieu la pose de la première pierre de Congo LNG, le premier projet de liquéfaction et de commercialisation de gaz naturel liquéfié. D'un investissement initial de cinq (5) milliards d'euros, le projet devrait atteindre une capacité globale de production de gaz naturel liquéfié (GNL) de 3 millions de tonnes par an soit environ 4,5 milliards de mètres cubes/an à partir de 2025 et devrait permettre non seulement au pays de satisfaire ses besoins en matière de production d'électricité tout en assurant les moyens de sa transition énergétique.