Annoncé en grande pompe en 2018 par le premier ministre Abiy Ahmed à son arrivée au pouvoir, le programme de privatisation des principales entreprises publiques du pays a eu du mal à prendre forme malgré ses enjeux stratégiques pour la modernisation de l'économie du pays.
En dépit de ces vents défavorables comme la guerre en Ukraine qui ont plombé une reprise post-Covid 19 prometteuse, le continent a su tirer son épingle du jeu et à certains égards même, semble braver la crise. En florilège, quelques deals et transactions conclues en 2022 et qui témoignent si besoin est encore, du potentiel et surtout du dynamisme d'un marché en pleine