Le conseil d’administration du FMI approuve une proposition visant à augmenter de 50% les quotas des Etats. L’augmentation des quotas des Etats - dont...
La société nationale d’hydrocarbure algérienne Sonatrach a lancé le projet de la sismique 3d au niveau du champ Hassi Messaoud, quelques semaines après le début...
La crise de l’énergie a constitué un véritable casse-tête pour les dirigeants du monde. La planète sortait à peine d’une crise sanitaire qui avait fini par gripper les rouages d’économies fort éprouvées de confinements sans précédent. Le déclenchement de la guerre russo-ukrainienne a été la goutte qui a fait déborder le vase. Les prix ont bondi de plusieurs points de base, atteignant 2 chiffres, voire 3, dans certains pays y compris africains, face à une moyenne mondiale autour de 8,5%.
Avec une économie structurée qui repose sur des fondamentaux solides, nombre de pays, à travers le monde, ont mis en place des véhicules d’investissement pour déployer des excédents et générer des rendements. Ces fonds souverains, hautement stratégiques, sont aussi un outil stratégique pour revendiquer sa souveraineté. L’Afrique n’est pas absente dans ce concert, mais quid de leur gestion ?