Le président ivoirien Ouattara est devenu le troisième administrateur pour l'Afrique subsaharienne au conseil d'administration du Fonds monétaire international (FMI), le bailleur en dernier...
L’Europe abrite une forte diaspora en provenance d’Afrique subsaharienne, dispersée sur divers pays. Cette diaspora au profil différent comporte à la fois de hauts...
En Afrique au sud du Sahara, la demande croissante de logements est estimée à 250 millions de logements d'ici 2050. Les promoteurs immobiliers, estampillés...
Le Benin, la Côte d'Ivoire devraient bientôt rejoindre la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD). Une adhésion présentée comme une opportunité...
Dans le sillage de l’engagement croissant de la Banque Européenne d’Investissement (BEI) en Afrique subsaharienne, la Côte d’Ivoire bénéficie de 300 millions d’euros pour des projets de partenariat public-privé (PPP). Le financement s’inscrit dans le cadre de l’initiative Gobal Gateway d’appui des pays de la région notamment dans les secteurs de la santé, de l’énergie, de l’environnement, de l’eau.
Dans un contexte marqué par une croissance en chute libre, depuis 2021, passant de 4,1% à une estimation de 3,1% à fin 2023, l’Afrique a répondu, comme à l’accoutumée, présente aux réunions de printemps de la Banque mondiale et du FMI. Si les montants des engagements financiers spécifiques que les institutions de Bretton Woods prévoient pour l'Afrique en 2023, ne sont pas encore publics, on peut espérer que cette fois, les enveloppes seront à la hauteur des besoins, en phase avec Reshaping Development, thème retenu cette année.
Aujourd’hui près de 2,4 milliards de femmes en âge de travailler dans le monde ne bénéficient toujours pas des mêmes droits que les hommes, selon les chiffres de la Banque mondiale publiés en 2023. En Afrique où les rivalités sur le marché de l’emploi sont exacerbées par la pauvreté et le chômage, les femmes sont particulièrement vulnérables et exposées face à des systèmes juridiques inspirés de modèles patriarcales. Les avancées à coups de réformes restent encore timides.
Selon l’OMS, ce sont plus de 20 000 de morts parmi les migrants clandestins qui traversent la Méditerranée pour se rendre en Europe. Ceux originaires de pays au sud du Sahara constituent un lot non négligeable. Pire ce sont des jeunes et quelques fois des mineurs qui se noient ! Dans les pays de transit les tensions montent sans cesse. Pourtant des solutions existent pour atténuer le phénomène et fixer une bonne partie de cette jeunesse dans son pays d’origine.
La saison des prévisions économiques pour la nouvelle année a été lancée avec la publication par la Banque mondiale de sa première édition des premières perspectives pour 2023 qui s'annonce pas de bonne augure avec une croissance mondiale qui va fortement marquer le pas sous l’effet de l'inflation, de la hausse des taux d'intérêt, de la diminution des investissements et des perturbations causées par la guerre entre l'Ukraine et la Russie.
Selon le rapport qui vient d'être rendu public, les actifs de la finance islamique en Afrique subsaharienne ont atteint quelques 10 milliards de dollars en 2021 contre 8 milliards de dollars en 2020. Avec 3 milliards de dollars d'actifs, soit 30% du total, les banques islamiques ou "halal" font jeu égal avec les obligations islamiques ou "sukuk" avec eux aussi 3 milliards de dollars d'actifs soit 30% du total alors que les fonds d’investissement « charia-compatible » absorbent 2 milliards de dollars d'actifs.