Antonio Guterres, SG de l’ONU, soutenait naguère : « Pour éviter une catastrophe climatique, les énergies renouvelables sont la seule voie crédible. » De plus en plus, des décideurs africains ont pris cette résolution qui tienne compte de l’environnement, en l’adaptant au cadre de vie. De telles politiques convoquent d’importants chantiers sur l’existant et une nouvelle démarche économique soutenue par les financements verts.
Le continent africain fait face à des besoins colossaux, en termes d’infrastructures. D’ici 2040, ils sont estimés dans une fourchette, oscillant entre 40 000 et 63 000 milliards $ par an, selon la BAD. Combler ce déficit criard doit être conjugué à une stratégie qui met en avant la transition énergétique.