Le Ghana prend des mesures strictes contre les gestionnaires de fonds de pension privés qui souhaitent investir dans des actifs offshore, craignant que cela n'aggrave la pression sur sa...
Le Burkina Faso, pays des Hommes Intègres, présage sérieusement de retirer des permis miniers à certaines sociétés étrangères. Par ricochet, le pays chercherait à...
Le Mali, le Burkina Faso et le Niger, Etats membres de l'Alliance des Etats du Sahel (AES) décident d'introduire un nouveau passeport biométrique. Cette...
Dans l’espace Liptako-Gourma, l’Alliance des Etats du Sahel (AES), fait mieux qu’entrer en lice. La semaine dernière, son hymne a été rendu public. Les...
L’Europe abrite une forte diaspora en provenance d’Afrique subsaharienne, dispersée sur divers pays. Cette diaspora au profil différent comporte à la fois de hauts...
Le nouveau président du Conseil national du patronat burkinabè, Idrissa Nassa, a été officiellement installé par le président de la Transition, le capitaine Ibrahim...
Le Burkina Faso espère construire une centrale nucléaire dans le pays d’ici 2030, selon la déclaration jeudi à Moscou, du ministre de l’Énergie, des...
A l’issue du conseil des ministres de l’union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa), les ministres ont adopté une directive et une décision relatives à...
Les choses sont allés très vite entre le gouvernement burkinabé et l'entreprise Afro Turk. Deux mois après la décision des autorités de céder les actifs miniers pour l’exploitation industrielle du manganèse de Tambao et de la grande mine d’or d’Inata à la société Afro Turk par une procédure d’entente directe, les deux parties ont acté la transaction le 25 avril dernier pour un montant de 30 milliards de francs CFA. En plus d'apporter de l'argent frais aux caisses de l'Etat, l'opération redonne du souffle au secteur minier burkinabé qui traverse une crise depuis plusieurs années en raison notamment de l'amplification des menaces sécuritaires qui ont poussé plusieurs investisseurs miniers à tempérer leur ambition de développer de nouveaux projets...
Depuis quelques semaines, on assiste à une véritable levée de boucliers des abonnées des principaux opérateurs télécoms dans plusieurs pays d'Afrique de l'ouest qui jugent le coût des services excessifs. Une grogne provoquée par la récente hausse des tarifs de certaines offres, notamment l'Internet mobile, annoncée dans certains pays et qui se manifeste par des appels spontanés à des mouvements de boycott qui s'amplifient sur les réseaux sociaux.