La société minière d'État congolaise Gécamines et sa filiale Entreprise Générale du Cobalt (EGC) ont signé un accord accordant à EGC des droits miniers...
Le renforcement des liens diplomatiques entre la Turquie, 19e puissance économique mondiale, et le continent africain a donné une grande impulsion au commerce bilatéral.
Les...
Tour d'horizon et analyse des principaux enjeux de ces scrutins majeurs qui détermineront l'avenir d'une démocratie africaine encore pleine consolidation. Après une première partie consacrée à l'Afrique de l'ouest, dans cette seconde partie? les élections prévus dans les autres régions du continent notamment en Afrique centrale.
Le conseil d'administration de la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA) a approuvé le financement de 9 projets à impact social en Afrique de l'Ouest, du Centre et de l'Est. Des investissements pour combler le retard de développement du continent, conformément aux objectifs 2030 de l’institution financière multilatérale notée « AA » et détenue par 18 pays arabes.
La grande île possède diverses ressources naturelles et de réels atouts économiques. Si sur certaines filières, elle caracole en tête, dans d’autres, des schémas laborieux ont freiné son développement. A sa tête depuis bientôt 5 ans, le Président Andry Rajoelina, ex-maire de la capitale, compte des tops mais aussi des flops. A l’Elysée ce week-end, il plancherait avec son hôte sur une coopération renforcée et surtout Win Win.
Le gouvernement camerounais et le Fonds d’investissement chinois Silk Road Investment Fund ont signé la semaine dernière à Yaoundé, un mémorandum d'entente (MoU) en vertu duquel, le partenaire chinois s'engage à mobiliser 30 milliards de dollars soit près de 18.300 milliards de francs CFA pour la réalisation des projets à fort potentiel dans le cadre de la mise en œuvre de la Stratégie nationale de développement du Cameroun (SND 30). Une bonne affaire pour le gouvernement certes qui va lui permettre d'accélérer la mise en œuvre de sa stratégie de développement mais qui expose un peu plus, et comme le passé, le pays à la dette chinoise.
Dans un contexte marqué par une croissance en chute libre, depuis 2021, passant de 4,1% à une estimation de 3,1% à fin 2023, l’Afrique a répondu, comme à l’accoutumée, présente aux réunions de printemps de la Banque mondiale et du FMI. Si les montants des engagements financiers spécifiques que les institutions de Bretton Woods prévoient pour l'Afrique en 2023, ne sont pas encore publics, on peut espérer que cette fois, les enveloppes seront à la hauteur des besoins, en phase avec Reshaping Development, thème retenu cette année.
La Zambie et le Ghana submergés par leurs dettes sont deux économies africaines au bord de la faillite. La secrétaire américaine au Trésor, Janet Yellen dont le pays s’est engagé à soutenir les Etats tire la sonnette d’alarme. Elle compte exercer la pression sur le FMI et la Banque Mondiale lors des sessions de printemps de ces institutions prévues cette semaine afin de trouver une solution.
Les services du FMI et les autorités rwandaises sont parvenus à un accord au niveau des services sur les politiques nécessaires pour achever les premières revues de l'instrument de coordination des politiques et du programme du Rwanda dans le cadre de la Facilité pour la résilience et la durabilité.
Face aux multiples crises et chocs récurrents dont elles sont confrontées, les économies africaines ont urgemment besoin de financements concessionnels pour renforcer leur résilience ont plaidé les experts à l'occasion de la journée de reflexion sur la stimulation de l’accès au Fonds de résilience et de durabilité du Fonds monétaire international (FMI), organisé le 28 mars dernier à Addis-Abeba, par AfriCatalyst et la Commission économique pour l’Afrique (CEA).
Le monde des finances est entrée en ablution à suite de la faille successive de trois banques américaines en moins d’une semaine. La peur de propagation a aussitôt fait plonger les bourses européennes qui ont fini en baisse dans la foulée. La Silicon Valley Bank, l’une des banques en question est l’un des principaux bailleurs de fonds des entreprises de la Tech africaine.
Créé en 2003, l'Institut Africain des Sciences Mathématiques (AIMS), premier et plus grand réseau de centres d'excellence d'Afrique pour une formation post-universitaire innovante en sciences mathématiques, organise le Next Einstein Forum pour la détection d’innovateurs. Et si cette rencontre portait le nom d’un savant africain…
La Banque européenne d'investissement (BEI) et Afreximbank ont annoncé cette semaine, le lancement d'une initiative d’investissement de 200 millions d’euros en appui à la résilience sanitaire en Afrique subsaharienne. A travers un nouveau dispositif de financement simplifié, les deux institutions financières vont mobiliser chacune 100 millions d'euros pour accélérer les investissements hospitaliers et pharmaceutiques sur le continent.