Avec l’autorisation de l’injection de nouvelles ressources financières (dettes) dans la Banque ouest-africaine de développement (BOAD), les administrateurs offrent une opportunité à son président Serge...
Le gouvernement sud-africain envisage de créer une holding regroupant les diverses sociétés d’Etat. La nouvelle entité devrait remplacer le ministère des Entreprises publiques, qui...
L'agriculture et de l’industrie manufacturière ont fortement contribué à l'amélioration des performances de l’économie sud-africaine au deuxième trimestre de l’année en cours. Le pays...
Malgré des perspectives économiques moroses, l’Afrique australe regorge d’opportunités d’investissement face aux changements climatiques. C’est ce qu’a révélé le nouveau rapport économique de la...
Abdoul Aziz Son : Fiscaliste et spécialiste de l’Afrique Subsaharienne
La faiblesse des recettes fiscales est l’un des talons d’Achille des économies africaines. Le taux de...
Doté naturellement de ressources, notamment des gisements mono et polymétalliques (Phosphate, Attapulgite, Fer, Manganèse, Chrome, Zinc, Cuivre, Argent, Nickel, Uranium…) mais aussi du pétrole offshore, du marbre, de la tourbe, du calcaire, mais aussi des terres arables et fertiles, des forêts et de magnifiques paysages, cette richesse est encore peu exploitée, en dépit de programmes de transformation.
Les liens économiques et commerciaux entre la Chine et les pays d’Afrique seront renforcés dans les prochaines années, selon les responsables gouvernementaux et des dirigeants d’entreprises, réunis à l’Exposition économique et commerciale Chine-Afrique qui s’est achevée le 02 juillet à Changsha, la capitale de la province de Hunan. Des centaines de projets ont été signés avec des pays d’Afrique notamment dans les domaines prioritaires de l’énergie et de l’agriculture.
En Egypte, l’inflation sous-jacente, qui permet de dégager une tendance de fond de l'évolution des prix, a connu une importante hausse le mois dernier. Un indice des difficultés de l’économie Egyptienne fragilisée par la dévaluation de la monnaie, des pénuries devises étrangères entre autres. Le pays qui peine à retrouver l’équilibre financière depuis les troubles de 2011 a entamé une série de réformes soutenues notamment par le FMI.
Le gouvernement camerounais et le Fonds d’investissement chinois Silk Road Investment Fund ont signé la semaine dernière à Yaoundé, un mémorandum d'entente (MoU) en vertu duquel, le partenaire chinois s'engage à mobiliser 30 milliards de dollars soit près de 18.300 milliards de francs CFA pour la réalisation des projets à fort potentiel dans le cadre de la mise en œuvre de la Stratégie nationale de développement du Cameroun (SND 30). Une bonne affaire pour le gouvernement certes qui va lui permettre d'accélérer la mise en œuvre de sa stratégie de développement mais qui expose un peu plus, et comme le passé, le pays à la dette chinoise.
Le Sénégal, pays d’Afrique de l’Ouest, second poumon économique de l’UEMOA-certes de taille moindre à la Côte d’Ivoire - est à la croisée des chemins. De temps à autre des agences de notation, telles que Standard & Poor’s (S&P) Global Ratings, filiale de McGraw-Hill, font l’évaluation du risque-pays. Cette année 2023, qui augurait de bien d’espoirs, est en train d’être freinée dans son élan.
Le Ghana, la Chine et la France mettent en place un comité permettant d’ouvrir la voie à un prêt de 3 milliards de dollars du Fonds monétaire international (FMI). Après avoir défendu une politique économique sans l’aide des institutions de Bretton Woods, le Ghana de Nana Akufu-Addo dont l’économie est au bord du gouffre s’est résigné à faire appel au FMI, qui, à ses conditions.
Les services du FMI et les autorités rwandaises sont parvenus à un accord au niveau des services sur les politiques nécessaires pour achever les premières revues de l'instrument de coordination des politiques et du programme du Rwanda dans le cadre de la Facilité pour la résilience et la durabilité.